Le camp Gerudo

A vous, aventuriers, vous qui n'avez jamais osé traverser le pont suspendu.
A vous, aventuriers, vous qui n'avez admiré le camp qu'à travers une longue-vue.
A vous, aventuriers, vous que les Gerudo terrifient ou intriguent.
Moi, Kaehnwa, Gerudo de sang pur, je vous invite dans notre secret et impénétrable camp.

Admirez, profitez et ouvrez grand vos yeux. Je me ferai un plaisir de vous guider à travers le labyrinthique village gerudo.


[hrp]Le but est ici que vous décriviez comment votre personnage verrait pour la 1ère fois le camp gerudo[/hrp]

Quand Kaehnwa proposa à ses soeurs de leur faire visiter son village natal, Scylla sauta sur l'occasion. Elle qui adorait tout ce qui lui était peu habituel...

Après quelques heures de marche au travers de la plaine d'Hyrule, elles furent enfin arrivées à destination. Scylla ouvrait grand ses yeux de poisson : La terre à ses pieds était bien plus sèche que celle de la plaine, de même que les falaises qui l'entouraient étaient d'un orange assez vif. Elle eut un frisson dans le dos. Heureusement, quelques dizaines de mètres plus loin, jaïssait une cascade d'eau pure dont la force reflètait déjà l'âme des habitantes de ces terres.

- Cette cascade est magnifique ! s'écria-t-elle.

Elles traversèrent le pont suspendu, qui n'avait pas l'air gardé. Pourtant, on pouvait sentir plusieures présences qui semblaient guetter le moindre petit faux-pas de ceux qui osent passer la rivière. D'un reflexe soudain, Scylla se rapprocha de sa compatriote et la suivi de très près.



[HRP] Je laisse un peu de suspence pour ceux qui désirent continuer après moi [/HRP]

Depuis un bon moment déjà, les habitants avaient perçu la présence de ces nouveaux visiteurs, mais comme à leur habitude, ils restaient méfiants... la tribu des Gerudo n'est décidément pas habituée à voir d'autres bonnes, et bien qu'ils ne soient en vérité pas si hostiles qu'il peut y paraître, ils ont appris à cacher leurs sentiments derrière un masque de froideur et de colère...

Le sable chaud, porté par le Sirocco soufflant continuellement en ces terres sèches, caressait la peau de Morwenn, endurcie par ce climat aride...

- Pour peu qu'il y ait des Zoras parmi nos visiteurs surprise, elles risquent de mal vivre le pays si elles ne sont pas protégées...

Morwenn mit de côté son instinct Gerudo, et lui préféra une bonne hospitalité. Ainsi, il alla chercher des grandes capes couleur sable, typiques du pays. Il s'avança alors vers le groupe qui atteignait déjà la limite Nord du village...